L’independance entre le skylla de la peur et le charybde de l’espoir

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Par l’adoption de la déclaration de l’indépendance par le Conseil Supreme de la République socialiste soviétique de l’Arménie du 23 aout 1990 et par le référendum du 21 séptembre 1991 l’Arménie a quitté l’URSS et le 23 séptembre a déclaré son indépendance. Ces phrases tirés des manuels sont juste des dates et chronologie, tandis que sur la base de ces nombres et faits une grande tache a été réalisée qui a commencé déjà les années 1960 et finit par le commencement  et la reformulation du mouvement de Kharabakh et par la déclaration de l’indépendance.

Un peu sur le parcours: le desirable et le réel

En parlant sur le réveil national des années 1960, il est très impotant et axial de parler sur les événements dédié au 50ième anniversaire  du  génocide arménien et leurs échos publics et politiques. Le résultat principal est la construction du mémorial dédié aux victimes du génocide arménien à Tsitsernakaberd (fort aux hirondelles) l’autonomie intérieure de RSSA et un certain changement des dispositions publiques. Il faut se rappeler que cependant il était très important et prioritaire la participation publique, le plein dévouement des groupes et des personnes à cette affaire, le URSS lui-meme n’était pas très intéressé par tout ça. D’abord c’était le dégel Khrouchtchevien, ensuite l’atmosphère de la guerre froide . Et avant cela, meme pendant la deuxième guerre mondiale il y avait des murmures assez réalistiques sur le conflit éventuel entre la République turque et la Russie. Plus tard, déjà en 1995, La Turquie était devenu le membre NATO et avait crée un problème stratégiquement désagréable pour la Russie. Ensuite c’est la crise Caribéenne qui continue (1962) dont la cause était l’installation des stations fusées appellé Jupiter à distance moyenne contre l’URSS.

Voici, la présence de ce rang des conditions géopolitiques qui a rendu possible la commémoration de 50ième anniversaire du génocide permit par le pouvoir de l’URSS, l’harcélement politique dans l’arène internationale à l’attente aux intérets politiques intérnationaux de l’URSS. Certes, il était important la situation intérieure de l’Arménie ; « Le grand rapatriement » des années 1940-50 était l’argument et l’incitation principal qui est devenu la base de l’intégraton des jeunes actives, libre et intéllectuels à la politique publique.

Selon l’URSS l’activisme publique et, en général, chaque rassablement intérdit était une menace à la sécurité du pays, et dès le début on mettait un point à ces idées. Par exemple, l’accident de 1965 devant le théâtre de l’opéra et du ballet, quand un group de gens avaient cassé les fenetres de l’Opéra par les fers  en même temps que le pouvoir supérieur du pays commémorait le 50ième anniversaire du génocide, était qualifié un voyoutisme et infraction de l’ordre publlic. Ainsi que l’accident de 1966, quand dans le panthéon un group de jeunes gens qui avaient décidé de rendre hommage à Komitas comme un personnage intégral du génocide, avaient été arété pour dix jours.

Tout celà prouve que les événements des années 1965 et en 1967 la construction du mémorial étaient profitable pour les pouvoirs centrals de l’URSS et surtout dirigé par eux-memes. Celà était dirigé, car la libéralisation de la sphère publique après la période du dégel, pourrait etre dangereux et contagieux à RSS d’Arménie, et ainsi il serait plus facile de diriger le mouvement vers un champ plus impuissant du passé et du national en perturbant les protestations et surveillant les développements possibles.

Pour comprendre l’énorme influence social- politique et culturelle de ces événements, il faut se referrer aux certains aspects du movement de Kharabakh. Presque tous les protagonistes populaires du mouement de Kharabakh, ainsi que la génération ainé venaient de l’origine de ce mouvement. Ensuite , le mouvement de Kharabakh est devenu comme une école et un champ d’expérimentation pour les protagonistes politique du temps dont l’objectif était de créer un pays indépendant avec plusieurs  d’avantages et désavantages.

Les bases politiques et idéologiques. De l’alternative vers la clarté.

A la comparaison des mouvements politique-nationale d’Europe orientale ou initialement était la question de la souveraineté politique et l’axe du moral de la nation, le mouvement de Karabagh était un peu différent par sa base et développements. Les movements d’Europe orientale avaient initialement déclaré leur exigence de la souveraineté indissoluble et soulignaient que celà ne pouvait pas etre spéculé car la liberté politique et sociale- individuelle n’avait pas un alternative. A la comparaison de celà, le mouvement de Karabagh n’avait pas ce problème dès le début, car ici la question principale était l’union de la région autonome de Karanagh à RSS de l’Arménie.

La question de la description morale de l’individu. Qu’entendons nous ? Le dernier présidne de la Tchékhoslovaquie et celui premier de la République tchèque, un dissident, humaniste et un politicien célèbreVatslav Havel soulignait dans ses essais que la véracité et l’honéteté n’ont aucune alternative, qu’on ne peut que vaincre le système totalitaire avec les propagandes sur la verité( en réalité ce problème a été critiqué par les intéllectuels du temps car celà  était d’un caractère unilatérale et loin de l’ordinaire).

Au contraire de celà, Vazgen Manoukian,  l’un des personnages remarquables du mouvement de Karabagh, dans un des interviews d’une série d’émission  « Le temps de l’homme » indique que lui et ses partisans des memes idées étaient  prets de ne dire que le 80% de la verité, pourvu qu’ils ne devenaient des personnages marginales et ne se classaient pas parmi les dissidents. On peut commenter ça plutot comme une pragmatisme politique. Cet exemple est ni absolu, ni général, mais un excellent exemple de la diférence et de l’opposition de l’esprit politique.

Le problème est que la route de cette verité donne des demi-fruits. Les dirigeants du mouvement de Karabagh voulaient faire un coup double ; et garder des relations proches avec les pouvoirs de l’URSS, et rester dans le corps de RSS de l’Arménie, et en meme temps réunir le RSS de l’Arménie à L’oblast autonome du Haut-Karabagh.Ensuite c’étaient les événements de Sumgaites, les attitudes des pouvoirs centrales de l’URSS et du RSS d’Azerbaidjan vont finir par le changement de l’ordre du jour politique, et la seule alternative sera l’indépendance de l’URSS et la solution du problème indépendamment.

Les peurs du passé et leurs élimination périodique

Comme disait Wisnton Churchill, Le succès, c’est d’aller d’échec en échec sans perdre en enthousiasme.Cette phrase décrit le parcours du mouvement de Karabagh ainsi que le morale et la psychologie des personnages centrales de ce mouvement.

Si nous nous rappellons les conditions de la soviétisation de la première républiqe d’Arménie, on va voir que dans l’avenir cet état s’est été présenté comme une série des phobies. Premièerement, c’était la question de la sécurité physique, secondément était l’impossibilité de l’existence souvéraine de la première république (le thésis de l’impossibilité de l’existence souvéraine du «Petit Pays», l’hostilité «génétique» des turcs), qui était décidé par les conséquences intérieures et extérieures (économie, guerre, démographie), et aussi par la situation géopolitique (une guerre contre trois pays voisins pendant tous les deux ans, la perte des espaces, un grand nombre des affamés, une économie détruite, l’oisivité des sponseurs politiques, une menace de la disparaison totale par des armées turques).

Voici, en résultat de ces conditions que le pouvoir est changé et se sont les ordres soviétiques qui ont succédes. C’étaient ces narratives qui étaient activées pendant le mouvement du Karabagh et avaient crées des conflicts.

Une partie des groups sociaux et politique indiquaient que par  l’indépendance s’éclaterait une nouvelle guerre avec la Turquie, et encore on aurra le problème de la disparaison physique. Le défendeur principal  de ce thésis était le FRA. L’autre partie excluait complètement la possibilité de la souvéraineté comme un petit pays, dont la base était le scepticisme envers ses propre capacités mentales et matérielles.

Mais le cours des événements, le parcours de l’indépendance a montré qu’il n’y a rien d’impossible et invariable, et que tout dépend de la volonté politique. La guerre de Karabagh a montré que les pouvoirs du temps ont pu de créer un système tenté de vaincre la guerre, ont pu organiser et diriger habilement toute type de resource et enfin remporter une victoire temporraire.

La fin de la guerre et la situation postérieure

La patrie libéré n’a pas une valeur si les citoyens du pays ne désirent pas du tout de vivre et créer dans leur patrie. C’est une chose de créer et organiser un système dont le problème primaire et axiale est d’atteindre une priorité militaire envers l’ennemi et en conséquence remporter une victoire, mais c’est une autre chose la reformation du système tenté à l’organisation et à la création des intérets publics au bénéfit des citoyens.Voici le promblème qui tourmentait les pouvoirs de 25 ans, et qu’ils sont bien échoué.

Après le cassez-le-feu de 1994, c’était très important de surmonter le  syndrome de l’après- guerre et transformer «la société en guerre» en «société créateurs» ou en «héros éminent», ainsi qu’organiser la vie sociale dans les conditions pacifique, la réalisation de l’idée de la guerre, ou l’honneur de la victoire appartenait aux gens mais pas aux diverses autorité politiques et aux propagandistes.

Tout celà n’était pas comlpet, quelque chose se manquait, dont le résultat était l’utilisation et l’harcèlement des resources militaires pendant les événements politiques au bénéfit des intérets instantané.

Enfin, on doit préciser les problèmes du système en 1991 quand les «Forces nouvelles» avaient incorporé celles des anciennes[i] d’entres eux, négligeaient les conflits des interets et ne resoudraient que des problèmes minimaux, ainsi qu’on doit préciser les problèmes du système présent quant la situation est complètement différente et les problèmes axiales et principaux du temps sont secondaires, mais pas peu importants.


Bibliographie

  1. Լևոն Աբրահամյան, Ծեսը, նախաթատրոնը և Թատերական հրապարակը. – «Բեմ», 1990, թիվ 1, էջ 7-19։
  2. Հարություն Մարության, Հայ ինքնության պատկերագրությունը։ Հատոր 1. Ցեղասպանու­թյան հիշողությունը և Ղարաբաղյան շարժումը, Երևան, 2009:
  3. Հարություն Մարության. Ցեղասպանության հիշողությունը եւ Ղարաբաղյան շարժումը։ http://hambardzum.am/hy/articles/marutianeghern.html
  4. Նիկողայոս Ադոնց. Քաղաքական հոսանքները Հին Հայաստանում։ Հ․ 1, Երևան, 2006։
  5. Ռաֆայել Իշխանյան. Երրորդ ուժի բացառման օրենքը: Մաշտոց, 5 սեպտմեբերի 1989:
  6. Վազգեն Մանուկյան. Գնացքից թռչելու ժամանակն է։ Հայք N 15, 19 մայիսի 1990։
  7. Ronald GrigorSuny.Looking Toward Ararat: Armenia in Modern History.Indiana University Press, 1993.
  8. Левон Абрамян, Арутюн Марутян, Борьба за национальную независимость в Прибалтике и Закавказье: раз­ли­­чия и сход­ство. – Всесоюзная научная конференция “Межна­цио­наль­ные проб­ле­мы и конф­лик­ты: поиски путей их решения”. Тезисы док­ла­дов, Бишкек, 1991.
  9. https://www.youtube.com/watch?v=uMWXA5fmSA
  10. https://www.youtube.com/watch?v=98MoJ7xErhE
  11. https://www.youtube.com/watch?v=w9PFYKxCuQ0


[i]C’est un exemplebrillant la victoire de Levon-ter- Petrossian pendant toutes les trois étapes  des élections du president du Conseil Supérieur quand s’étaient les comunistes qui sont devenu les protecteurs de la victoire et ont été recompensé à leur juste valeur dans les conditions logiques du système de temps.


Auteur: Gor Madoyan.  © Tous droits réservés.

Traduit par Flora Gevorgyan.