Antibiotique: caractéristique général

Les antibiotiques sont des substances chimiques soit synthétisés par des matières synthétique, soit produits par des microorganismes, qui sont capable d’arrêter le progrès des microbes et des bactéries et ils peuvent les supprimer. L’influence peut être plus faible et plus forte, de longue durée et de courte durée. Il est possible aussi que les substances n’aient aucune influence sur l’organisme. Certaines substances antibiotiques peuvent être employées dans le traitement de graves infections de microbe, des chimiothérapies mais certaines d’entre eux sont très toxique même mortelles. Malgré la grande influence sur les procaryotes les moyens antibiotiques sont presque impuissants dans la lutte contre les virus.

Jusque dans les années 30 de 20ième siècle plusieurs personnes mouraient de la pneumonie, de la dysenterie, du typhus, de l’infection septique, de la tuberculose et d’autres maladies pareilles. Les cas de la guérison étaient rares: le tel diagnostic prédisait la mort. Tout a changé après la découverte des antibiotiques.

Au mois de septembre de 1928 Alexender Phleming revient dans son laboratoire après l’absence d’un mois ou il examine minutieusement les staphylocoques. Il aperçoit une moisissure sur l’un des exemples. Les colonies du staphylocoque qui se trouvaient auparavant à la place de la moisissure, étaient supprimées. Phleming a nommé la moisissure pénicilline. En 1929 Phleming a présente sa découverte, mais celle-ci n’a pas trouvé une admiration chez les contemporains, parce que pénicilline n’était pas de substance stable et dans le cas de la préservation de courte durée il perdait ses traits utiles. Les travaux du perfectionnement de la pénicilline n’ont pas été cessés. En 1938 les chercheurs H. Florin et E. Chain ont pu créer la pénicilline pure. En 1941 on a pu sauver l’adolescent de 15 ans ayant l’infection du sang grâce à la pénicilline.

Pendant la deuxième guerre mondiale la pénicilline a eu un rôle considérable grâce auquel on a pu éviter de plusieurs cas de l’amputation et pas seulement. En 1950 la pénicilline était déjà empelotée à l’échelle mondiale. Les antibiotiques ont reçu la réputation de panaces grâce à la particularité de curer Les maladies considérées comme mortelles auparavant. Cependant les antibiotiques ne sont pas capables de lutter contre toutes les maladies. A partir des années de 1960 les bactéries sont découvertes contre lesquels les antibiotiques sont impuissants. Les spécialistes notent souvent que la raison en est les bactéries développant et subissant des variations idiotypiques, mais nous pensons que sauf des raisons naturelles le rôle des malades n’est pas peu. En entendant que les antibiotiques ont une grande efficacité ils prennent des médicaments et reçoivent la résistance. En 2014 World Health Organization a abordé ce problème[i].

Loi sur les médicaments

La loi de la République de l’Arménie «sur les médicaments» qui a été ratifiée en 1999 réglait de façon générale le champ des médicaments. Cela ne concerne pas seulement les antibiotiques. La loi avait une série de défauts. Pour rectifier la situation au moisde décembre de 2016 la loi «sur les médicament» est ratifiée, qui était un progrès sans précédent en comparaison de l’exemple déjà mentionné. Selon nous le complément le plus essentiel était la définition des notions importantes du domaine. La loi a définit les principes de la politique d’état des médicaments ayant pour but de rendre les médicaments plus accessibles pour les gens, on a précisé l’ordre des essais, les relations de la disposition de l’information et de la publicité, on a défini plus en détail les critères des préparations des médicaments et on a réglé les problèmes concernant l’investissement et l’exportation des médicaments etc. On a élargi et on a écrit plus en détail la liste des médicaments qui sont produits par l’ordonnance.

A partir de l’étape ou la loi était encore en discussion il y avait des rumeurs qu’il ne serait pas possible d’obtenir des médicaments antibiotiques sans l’ordonnance. On devait interdire non seulement la vente libre des antibiotiques mais aussi celle de tous les médicaments germicides.

Le 24ième article de la loi concernait les médicaments de vente en l’ordonnance. Cependant les notions «germicides» et «antibiotiques» ne sont pas mentionnées à la différence des psychotropes. Il se fait que la question de la vente des antibiotiques est laissée au commentaire des organes de droit qui signifie que la loi n’a pas résolu ce problème. Le point 9 de l’article cité sur la vente des médicaments avec l’ordonnance concerne aussi les médicaments qui «s’appliquent dans les traitements de telles maladies dont le diagnostic est réalisé dans l’institution médicale bien que le traitement avec les médicaments et le contrôle ultérieur par le médecin peuvent être réalisés hors l’hôpital[ii]. Revenant à la liste des maladies curables avec les antibiotiques nous remarquonsqu’il est nécessaire l’examen médical réalisé dans l’institution médicale pour leurs diagnostique. C’est-à-dire le tel commentaire de la loi peut servir de base de classifier les antibiotiques dans la série des médicaments de vente en l’ordonnance. Ne le pas mentionner dans la loi de façon directe crée le manque de compréhension. Pour a comparaison on peut attarder sur l’exemple des psychotropes. Le 5ième partie du même article 24 définit que les médicaments psychotropes ayant un quota supérieure du niveau normal définit par l’organe plénipotentiaire sont classifiés dans la série des médicaments de la vente avec les ordonnances. En revanche la question de vendre les antibiotiques sans l’ordonnancene ne reçoit pas l’attention nécessaire. Tandis que la telle initiative aurait une influence positive. En effet, de grands efforts sont exigés pour l’application définitive pour la préservation de la pratique à partir des règlements législatifs.

Pourquoi doit-on interdire la vente des antibiotiques?

Est-ce qu’en Arménie il faut interdire la vente libre des antibiotiques? Quel problème résoudra-t-il? A quelles conséquences négatives aboutira-t-il?

D’après nous la vente libre des antibiotiques doit être interdite et l’obstacle doit fonctionner en pratique. Beaucoup de citoyens classifient les antibiotiques dans la série des thés contre le refroidissement, des médicaments tranquillisants et analgésiques etc. La raison en est que même dans le cas du refroidissement le plus ordinaire les gens emploient des médicaments antibiotiques ne sachant que dans la lutte contre les virus les antibiotiques n’ont pas de grande influence. Par conséquent, l’organisme s’habitue aux antibiotiques et le moment où il y a une infection de bactérie qui suppose un traitement avec les antibiotiques ceux-ci ne laissent pas l’influence nécessaire. Pendant le virus ou l’infection de bactérie les symptômes sont pareils mais pour comprendre de quoi il s’agit il faut effectuer des examens médicaux. Par conséquent il n’est pas suffisant de se baser sur la similarité des symptômes.

Les arméniens attribuent aux antibiotiques des traits qu’ils ne possèdent pas en réalité. Par exemple les antibiotiques ont une influence plus rapide que les autres. C’est parce  que le malade en employant un ou deux médicament rend le processus de la guérison artificiellement plus rapide alors que pour finir le traitement de façon complète. A cause de la représentation fausse sur les antibiotiques on peut rencontrer des cas dans la pratique quand les malades emploient des médicaments pour la prophylaxie en pensant que le système immunitaire devient plus fort ou bien ils les identifient aux vitamines. En considérant les antibiotiques comme panace les citoyens oublient qu’ils peuvent laisser une influence indirecte notamment une influence toxique sur les origans intérieures, des réactions allergiques etc.

Quand on commence à ne vendre les antibiotiques qu’avec l’ordonnance les citoyens les «respecterons» encore plus en se basant sur le principe que s’ils sont vendus seulement avec l’ordonnance alors ils luttent contre les graves maladies et l’emploi indépendant peut aboutir à des conséquences négatives. La création de telle conscience provoquera le refus des antibiotiques dans les cas inopportuns.

En Arménie on peut rencontrer des cas quand les malades s’adressent aux médecins quand la maladie a progressé. L’interdiction de la vente libre va développer au fur et à mesure la culture de s’adresser au médecin. C’est-à-dire les malades s’adresseront pour comprendre le caractère de la maladie et ils recevront le traitement convenable s’il est nécessaire. Les conséquences négatives provoquées par l’emploi non compétent des antibiotiques (mycoses, réactions allergiques et toxiques) suffisent pour ne les vendre qu’en ordonnance.

Presque chaque personne en Arménie a rencontré le problème de la surcharge des policliniques. Parfois on a la question est-ce qu’il faut attendre des jours est-ce que la prise des mesures ne sera pas plus vite d’autant plus que le malade s’affaiblit ou il n’y a rien de positif. La vente des antibiotiques absolument par les ordonnances aboutira à l’augmentation des tours, les délais de l’examen médical seront allongés et de façon machinale on fera attention à la maladie plus vite qu’auparavant. Peut-être on aura besoin même de s’adresser à des centres médicaux payés. La mise en place des formulations théoriques est peut-être l’une des propositions les plus faciles de la résolution du problème.

Prenant en considération les côtés difficiles et négatives nous pensons que les antibiotiques doivent être vendus d’après l’ordonnance médicale en contribuant à la création de la conscience du malade qu’il pense au moins quel médicament il prend. En prenant en considération ces conditions présentes il sera plus réel de proposer d’interdire la vente libre des antibiotique de la série étroite et puis en voyant le résultat après avoir résolu le problème du surcharge des policliniques vendre en l’ordonnance les antibiotiques de la série large[iii].

Dans les différentes pays ils existent des journaux renommés, les médecins publient des articles ayant pour titre comment employer précisément les antibiotiques quels doses laisseront une influence positive. Dans ces articles on présente comme une préface le problème de la résistance envers les antibiotiques[iv].

Dans notre cas dans la liste de l’ordonnance seulement les noms des noms des médicaments ne doivent pas être écrits, mais la série des antibiotiques de façon complète; pour que la lutte soit dirigée vers la résolution du problème mais envers les producteurs des médicaments. Le monde s’approche graduellement de la période de poste-antibiotique mais comme celle-ci n’est pas encore venue en être au courant, être informé sur les antibiotiques selon la nécessité et l’application viennent de l’intérêt des malades.

 


Bibliographie

  1. ՀՀդեղերիմասինօրենք http://www.arlis.am/DocumentView.aspx?DocID=75275
  2. ՀՀդեղերիմասինօրենք 2016. http://www.arlis.am/DocumentView.aspx?DocID=106446
  3. Anderson, Douglas Mosby’s Medical, Nursing & Allied Health  Dictionary ( 6th UK ed.). St. Louis, Missouri, USA.
  4. Wright, Peter M.; Seiple, Ian B.; Myers, Andrew G The evolving role of chemical synthesis in antibacterial drug discovery ». https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4536949/
  5. Rustam Aminov« A brief history of the antibiotic era: lessons learned and challenges for the future »,. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3109405/


[i]Le discours du mois d’avril de 2014 de WHO a abordé la résistance contre les antibiotiques en le considérant comme un problème grave de santé publique. Il a été dit aussi que le monde d’avant-antibiotique dans lequel les blessures pouvaient causer la morte, n’était pas tellement loin.

[ii] La loi de la République de l’Arménie sur les médicaments

[iii] Les antibiotiques de la série émargée influence avec une dose grande  sur les pathogènes, cependant il est possible qu’il laisse une influence négative sur la microflore formelle. Les antibiotiques de la série étroite influence sur les virus concrets.

[iv] Par example Antibiotic Guidelines 2015-2016 Johns Hopkins Medicine


Auteur:  Lusine Hovhannisyan. ©Tous droits réservés.
Traduit par Ani Khachatryan.