Les investissements étrangers dans le système bancaire de la République d’Arménie

photo:http://www.banks.am
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La décision du fusionnement des banques a été mise en discussion dans la société. D’après la plupart des « critiques » une décision pareille peut aboutir à la destruction des banques du capital arménien et dans le système bancaire resterons seulement les banques qui reçoivent du soutien de l’étranger. Est-ce que le fusionnement des banques et la réduction du nombre des banques sont improductifs ?

Aujourd’hui la stabilité financière et la réunion de la concurrence bancaire est un problème essentiel pour le système bancaire de l’Arménie. Malgré beaucoup d’amendements en Arménie la productivité du système bancaire de l’Arménie n’est pas haute conforme aux critères internationaux. L’écart haut de taux et la ressource sensiblement haute du normatif montrent que la productivité du travail des banques est bas. Le seul moyen valable pour la résolution de ces questions c’est le développement [i]de la concurrence.

 Les banques étrangères ont un rôle important pour le développement de la concurrence. Le système bancaire de l’Arménie est le parti le plus grand du marché financier, dont le part des actifs du système financier est presque 90%. L’une des caractéristiques essentielles du système bancaire de l’Arménie c’est la présence du grand capital étranger. Dans le système bancaire national l’étude de la présence du capital étranger est important surtout pour les petits pays dont l’économie est transitoire est qui s’approchent un problème compliqué.

En général pour le capital étranger le facteur essentiel du l’attrait du système bancaire national c’est le bénéfice le plus lucratif en cas de risque acceptable. La participation large du capital étranger dans le système bancaire est conditionnée par quelques facteurs :

  • Les ressources intérieures du pays ne sont pas suffisantes pour les investissements considérables dans le domaine bancaire. Le manque du capital était typique pour tous les pays de l’économie transitoire et il est devenu une impulsion importante pour que le capital étranger pénètre dans les systèmes bancaires nationaux. Pour nous il était conditionné par la situation économique et politique.
  • Après le tremblement de terre le pays belligérant qui était dans une situation difficile et bloquée n’avait des moyens financiers pour mettre sur pieds les banques se trouvant dans une situation difficile.
  • La population avait perdu le parti sensible des économies à cause du blocage des dépôts du banque «Khnaybank». La population et les entrepreneurs ont perdu leur foi vers les banques et les banques étaient privées de la possibilité d’intégrer les ressources monétaires.

Nous pensons que le domaine bancaire est le plus réglé en comparant avec les autres domaines. L’état encourage toujours l’injection de capitaux étrangers dans l’économie de la République d’Arménie et même dans le secteur bancaire. Les conditions et l’ordre de l’entrée dans le système bancaire de non-résidents sont beaucoup plus faciles que dans d’autres pays du monde. En Arménie fonctionne le système assez libéral de la licence et de l’enregistrement des banques et d’autres organisations financières avec la participation des capitaux étrangers.

Les chercheurs étrangers acceptent le point de vue comme un axiome selon lequel la présence du capital étranger dans le système bancaire national élève son activité, favorise l’amélioration de l’intermédiation financière. Dans les économies transitoires où il y a un manque des intermédiaires crédibles financières les banques étrangères renforcent les infrastructures financières, améliorent le milieu de la finance et peuvent favoriser l’accroissement des investissements directs étrangers dans les différents domaines de l’économie. Les banques étrangères sont moins vulnérables aux chocs des pays d’accueil. En général ils augmentent leur présence après la crise en éliminant de l’échiquier les banques locales problématiques. On a remarqué un phénomène pareil dans la première moitié de 1990 quand la plupart des banques commerciales de l’Arménie ont créé des crises bancaires involontairement et sont devenus les premières victimes. De 1994 à 2002 beaucoup de banques ont cessé leurs activités en Arménie dont la partie fonctionnait sur la base de capital étranger.

Dans le risque systématique du domaine bancaire de la République d’Arménie outre les risques politiques du pays il existe aussi des risques de la corruption et de la soudure du pouvoir et du business. Les groupements influents économiques de l’Arménie tâchent de fusionner avec le pouvoir et prendre part à la gestion du pays. Masi ces groupements peuvent tomber dans une situation sérieuse et risquée. S’ils se fusionnent comme une union politique donc le banque sera dans une situation difficile à cause de la diminution du rôle du pouvoir ou bien de cette union. Le système bancaire est en bon état à ce point de vue parce que les banques étrangères tâchent d’être distantes aves la politique et garder leur indépendance par les pouvoirs en fonction.

L’une des défauts du système bancaire de l’Arménie c’est qu’il est peu intégré au système bancaire international et que cette intégration a une orientation unilatérale. La faible intégration a une importance négative dans l’ensemble, tandis que le système bancaire de l’Arménie était exempt de la crise dernière mondiale parce qu’il était peu intégré aux structures financières internationales.

Le 67% des actifs des banques arméniennes appartient au capital étranger. Cela est noté dans le rapport sur les systèmes bancaires de 180 pays, qui a été préparé le Bureau national de recherche économique (NBER). Selon ces résultats le système bancaire de l’Arménie occupe la première place et il est un leader[ii] absolu parmi les pays de CEI.

Ce fait peut être inacceptable pour beaucoup de gens pour des raisons patriotiques. En fait c’est un bon résultat qui prouve que le système bancaire de la République d’Arménie est ouvert. On pense que pendant les années prochaines ce résultat sera assez élevé ce qui aura une influence positive sur le système bancaire de l’Arménie. L’engagement du capital étranger apporte l’expérience et les traditions des pays ayant des systèmes développés et forme un atmosphère plus concurrentiel. Les emplois augmentent, dans la concurrence on accentue les traits qualitatifs. Le rating du pays s’élève ce qui est aussi une impulsion pour l’engagement des ressources supplémentaires.

Notons aussi qu’en tenant compte l’imperfection du champ économique de d’Arménie et le système judiciaire pas parfait l’existence du capital étranger est une garantie d’être protégé pour les banques arméniennes. Les capitaux étrangers sont plus compétitifs et les problèmes concernant le management des risques sont peu nombreux. Le fait important c’est que le cas échéant les banques capitales peuvent aider les banques étrangères. Dans quelques cas les banques liées peuvent avoir des problèmes avec la réalisation, elles peuvent se trouver au bout d’une faillite. En ce cas-là les banques capitales sont plus stables et elles peuvent aider le cas échéant les entreprises liées qui sont dans une mauvaise situation. En fait cela ne travaille pas dans tous les cas (comme par exemple les banques «Procrédit» et «BTA»).

Par conséquent l’intégration des banques étrangères crée dans le marché des « points d’appui », qui peuvent fonctionner stablement même dans les situations critiques intérieurs du pays. Avoir des établissements stabiles bancaire est important pour le marché intérieur de l’Arménie.

Les banques étrangères ont des ressources à long terme et plus accessibles, elles sont plus risquées, ce qui permette d’avoir des grands privilèges envers des banques concurrentes. Même si les banques étrangères se trouvent au bout de la faillite il y auront les entreprises capitales qui pourront les aider. Bien sûr il ne faut pas oublier les défauts. Et surtout les banques étrangères fonctionnent par le règlement de l’entreprise capitales et elles éludent les lois, supplantent des banques arméniennes de la concurrence et le plus important c’est que le quotient de la dépendance des pays augmente.

En étudiant les avantages et les désavantages de l’intégration du capital étranger dans le système bancaire de l’Arménie nous trouvons que le gouvernement de l’Arménie et La banque Centrale doivent débaucher les banques étrangères pour faire des investissements dans le système bancaire de l’Arménie ou bien pour avoir des entreprises liées. Pour notre économie le bon choix du rapport de la concurrence et de la stabilité est très important. On aura des fortes bases par l’intégration du capital étranger et on pourra diminuer le chômage. Et en concertant l’expérience de ces banques avec les particularités de l’économie de l’Arménie on pourra développer et perfectionner notre système bancaire.


Bibliographie

 
  1. ՀՀ ԿԲ «Ֆինանսական կայունության մասին հաշվետվություն 2015» 2016թ.
  2. http://www.cba.am (ՀՀ Կենտրոնական բանկ)
  3. http://www.armstat.am (ՀՀ ազգային վիճակագրական ծառայություն)
  4. http://www.banks.am
  5. http://www.fineco.am/pdfs/Narek_Muradyan_1394477563.pdf
  6. http://etd.asj-oa.am/4124/
  7. http://topnews.mediamall.am/?id=11443
  8. http://parliament.am/legislation.php?sel=show&ID=1681&lang=arm

[i]NarekMuradyan- « L’évaluation de la concurrence bancaire par des méthodes économiques et mathématiques »

[ii]http://topnews.mediamall.am/?id=11443


Auteur: Lilit Ovsyan. © Tous droits réservés.

Traduit par Taisya Hovhannisyan.