Les perspectives du développement de tourisme médical en Arménie

Le tourisme médical comme une nouvelle branche en développement de l’économie

Le but de cette analyse est dʼinterpréter la notion de tourisme médical, révéler en Arménie les conséquences du développement de ce dernier au niveau socio-économique du pays (comme un pays réceptionnaire), révéler les problèmes du développement dans cette domaine.

D’abord essayons de comprendre, qu’est-ce que c’est que le tourisme médical.

Le tourisme médical c’est le voyage des personnes d’un pays (région) dans un autre pays (région), pour obtenir le bilan de santé. Il est compréhensible que ce phénomène n’a le sens que si le pays réceptionnaire a les meilleurs rapports entre prix et qualité du service médical. La définition plus imagée du tourisme médical c’est quand un citoyen d’un pays veut obtenir un traitement dans un autre pays, où on propose les services médicaux de haute qualité, qui sont raisonnables et rapides.

Pendant son traitement le touriste a la possibilité de jouir de son repos et organiser son séjour: profiter des avantages du pays réceptionnaire, visiter les divers lieux pittoresques, voir les valeurs historiques et culturelles etc. Souvent tout cela est maints fois moins cher, que d’obtenir simplement un traitement médical dans son propre pays.

C’est-à-dire grâce au tourisme médical la personne choisissant un autre pays reçoit la possibilté d’obtenir des services médicaux de haute qualité et la possibilté de visiter par la même somme (supposons que cette somme ne souffit que pour obtenir le traitement dans son propre pays). Bien sûr, ce phénomène a son côté péjoratif la personne malade a besoin du chaleur spirituelle, alorsqu’il n’est pas dans son propre pays, loin de ses proches.

Bien que cette domaine est encore aux premiers pas du développement, mais il y a déjà certaines statistiques. Présentons les ci–dessous:

Et ainsi, les pays réceptionnaires principaux du tourisme médical sont suivants: Costa Rica, Israël, l’Inde, le Mexique, Singapour, Thaïlande, Taiwan, Turquie, Corée du Sud, États-Unis. Les rythmes du développement de cette domaine sont remarquables en Bulgarie. Grâce à la stratégie claire et la politique efficace d’investissement ce pays a pu devenir un «paradis» du tourisme médical pour les pays d’Europe occidentale dans un court laps de temps: ayant les services médicaux attrayants en rapport de prix-qualité. En conséquence, ces dernières années, certaine partie du budget de l’Etat de la Bulgarie on complète par des revenus de cette domaine.

Le service médical est un paquet complexe, qui se compose des constituants nécessaires, tels que, par exemple, les investissements privés et publics dans la domaine de la santé, l’activité fidèle des normes internationales, ayant la tendance à haute niveau de qualité et au maintien de transparence, à l’affluence des visiteurs internationaux, à l’accessibilité des services médicaux, à la sollicitude du personnel médical, aux infrastructures touristiques développés (les hôtels accessible et confortables, le transport commun et international développé etc), à la stabilité politique et sociale, à haute niveau de qualité des services hospitaliers, aux innovations dans la domaine de la santé, à l’existence des inventions et à l’orientation de touriste vers le personnel médical. Des études montrent, qu’en consequence du tourisme médical on espère obtenir les services chirurgical, dentaire, cardiovasculaire, orthopédique, ooncologique etreproductif des femmes. En 2015 14 millions de personnes ont voyagé pour obteir le traitement, qui ont dépensé 45,5 à 7 mllliards de dollars. Les experts prévoient la croissance et le développement dans cette domaine.

Est-ce que l’Arménie est captivante au point de vue de tourisme médical?

Au premier coup d’oeil une grande partie des Arméniens peut insister, que nous avons le tourisme médical: nous avons tous les parents, qui vivent à l’étranger et parfois visitent la patrie et pendant les visites ils profitent des services médicaux: les recherches, la chirurgie plastique, services dentaires, etc.

Jusqu’à 2013-2014 on remarquaient, mais pas souvent des «touristes» non arménien (principalement du pays voisin de la Géorgie et la Russie), qui visitaient notre pays ayant le but d’obtenir des services de chirurgie cardiaque et plastique.

Qu’est–ce qui a changé à cette période. Quels étaient les entraves qu’ont contribué à la régression du tourisme médical. Qu’est-ce quʼil est arrivé que même une grande partie du diaspora préfère d’obtenir la chirurgie cardiaque et les services dentaires en Géorgie.

En fait, les conditions énumérées par nous dans la première partie, en Arménie il n’y a que 2-3. Oui, les prix des services médicaux sont accessible par rapport à l’Europe occidentale et centrale, aux États-Unis, alors, oui, nous avons des médecins qui ont une bonne qualification et haut niveau d’instruction.

Mais tout cela n’est pas suffisant pour dire assurément qu’en Arménie le tourisme médical est développé. Au contraire, l’absence d’une stratégie claire pour cette domaine, l’absence d’investissements systématiques: les hommes d’Etat ne devont pas même espérer que cette domaine doit connaître une progres dans la situation laisser-aller.

Le marché des entreprises importatrice sn’est pas libéralisé, l’institution des cliniques privées n’est pas encore réalisée,il y l’absence des changements législatifs dans la domaine de la santé pour l’allégement fiscal, on ne réalise pas des campagnes de marketing à l’étranger publicitant les institutions médicales de l’Arménie (à l’échelle d’état). Ce sont, les tâches grâce aux quels on peut rendre attrayant l’Arménie aux yeux des touristes qui cherchent un traitement dans un pays étranger.

Un fait important: au debut de 2013 le gouvernement d’Arménie a entrepris les changements dans la loi «Sur les prix de licence», d’après les quels dans les cabinets dentaires pour chaque chaise on doit payer 80.000 de drames. Le premier ministre, commentant le changement fiscal, fait remarquer fièrement que l’Arménie est l’un des leaders mondiaux par ses cliniques dentaires et les dentistes, et on viennent en Arménie de différents pays pour profiter de ces services parce qu’ils ne coûtent pas cher, et les spécialistes peuvent servir de bon service. C’est-à-dire si nous avons une domaine, où les services sont plus attrayants en rapport des autres, on doit réfléchir: comment on peut corriger «l’erreur» en augmentant la charge fiscale, créer des conditions inégales pour les importateurs …

En été de la même année on avait entrepris le projet «Tourisme dentaire en Arménie».C’est une partie du tourisme médical, on supposait l’orientation assez grave et avec les perspectives, qui devrait avoir l’affluence postive, et devrait être une impulsion pour le développement de l’économie nationale. On croit que ce n’est pas d’augmenter la charge fiscale des entreprises qui travailent dans cette domaine. Cette année, certains centres médicaux ont réduit les prix de la chirurgie cardiaque à peuprès 2 fois. La question est suivante: est–ce qu’il y avait surprofit jusqu’à la diminution. La gestion des cliniques s’est dirigée vers cette démarche pour définir les prix performants (en Géorgie les prix de la chirurgie cardiaque sont beaucoup plus accessibles).

En résultat de tout cela les 3-4 dernières années a essentiellement s’est diminué le nombre d’étrangers reçevant la chirurgie cardiaque et les services dentaires: un grand nombre d’entre eux partent pour la Turquie et la Géorgie (malheureusement, il n’y a pas de statistiques sur cette domaine en Arménie). En Géorgie en 1997 a été promulguée la loi, qui définit les démarches nécessaires au développement du tourisme médical, y compris le financement public et la coopération internationale. Et pendant ces dernières années, les processus sur le développement de cette domaine ont pris un nouvel élan dans le pays voisin (au niveaux public et privé). Et on a pris les démarches pour améliorer certains orientations pour le développement du tourisme médical, dont les importants sont: dans le développement du tourisme médical participation d’Etat et les démarches pour l’amélioration des services cliniques, pour engager les touristes internationaux qui ont besoin de services médicaux.

Conclusion

Comme nous lʼavons vu, le tourisme médical n’est pas assez répandu en Arménie (comme pays réceptionnaire), et pour animer cette domaine on a besion d’investissements étrangers et locaux (privés et publics). Et le facteur attrayant pour les investisseurs est la transparence de la charge fiscale. Bien sûr, il y a des facteurs aussi importants qui ont une affluence significative sur le développement de cette domaine, par exemple la création de lʼinfrastructure touristique et le développement de celles qui existent déjà. Développement est également entravé par le fait que les prix des billets restent excessivement élevés, ce qui est principalement lié avec la situation monopolistique dans le marché. De plus, une grande partie des Arméniens préfèrent partir pour Tbilissi puis prendre un avion et voyager dans des pays européens et asiatiques. Cette situation est une source de réflexion. Nous croyons que le gouvernement doit étudier attentivement les perspectives du développement de cette domaine en Arménie et réaliser les démarches pratiques en utilisant lʼexpérience de la Bulgarie, où il y a les grands subventions au niveau de lʼÉtat.



Auteur: Narek Muradyan. © Tous droits réservés.
Traduit par Gayanée Kirakossian.


Narek Muradyan
Economiste, financier, économétricien, spécialiste de la modélisation bancaire, docteur en sciences économiques. Analyste de systèmes bancaires, spécialiste de l'automatisation des processus d'affaires bancaires et chef de projets avec une expérience de plus de 8 ans dans des organisations locales et internationales.