Nous constatons les particularités du système des valeurs d’une société en résultat de la révélation de la régularité et en résultat de l’essentiel des activités sociaux-politique, dont ont liées le régime politique d’un état ou certains principes et mécanismes de l’activité, qui ont eu lieu visé au développement et à la transformation, à la caractérisation de la d’une société ou d’un état. L’un des critères le plus important de l’efficacité de l’activité du système politique on peut estimer l’aisance de la société, le niveau de la liberté socio-politique, le caractère des relations entre les différents groupes de la société et du gouvernement, finalement la mesure de la participation sociale dans la formation et changement du gouvernement. Et l’existence ou absence de ces critères on considère comme sous la lumière de la démocratie et de l’autoritarisme. L’expérience historique montre que la forme le plus fiable et le plus préférée pour l’organisation d’état et de la réalisation du gouvernement, c’est la démocratie, qui donne la possibilité de réaliser les facteurs indiqué ci-dessus. Comme disait W. Churchill «Démocratie est la pire forme du gouvernement, mais l’humanité n’a pas rien pensé une choses mieux, que cela».

Et voici, en étudiant les problèmes du développement de état et de société, on accorde une attention particulière à la démocratisation et à la question de l’actualisation politique.

 L’essentiel de la modernisation politique

D’après la caractéristique de E. Charles, l’actualisation politique c’est processus de transformation de l’état du type traditionnel en état du type moderne, qui s’appuie sur la société et la démocratisation du système politique, parce que les changements de la structure politique et de la culture politique ne peuvent se réaliser que dans le cas de la domination des valeurs démocratiques. Au milieu des années 1970, dans nombreuses parties du monde a eu lieu une vague de renversements des régimes politiques totalitaire et autoritaire, qui était caractérisée comme «la troisième vague de démocratisation» par Samuel Hanndington l’un des grands représentants de la théorie de modernisation. Cela a commencé à l’Europe du Sud, quand les dictatures stratégiques ont été effondrées en Portugal, en Espagne et en Grèce. Ensuite la vague s’est étendue en Amérique latine, en certains pays de l’Asie du Sud-Est, ainsi que tout l’URSS, où le résultat de la politique reconstructive est devenu l’effondrement du régime totalitaire soviétique.

Les processus de la modernisation de la politique sont passés souvent par les chemins non naturel, qui est le cas pour l’Union Soviétique. Le cause c’est que les institutions démocratiques occidentales ont été mises mécaniquement en pratique dans les sociétés de transition, où s’absentaient les conditions socio-économiques, socio-culturelles, et idéologiques pour la formation des institutions démocratiques. Et l’expérience a montré, que la réalisation du processus de telle manière n’aboutit pas à l’établissement du régime démocratique, ainsi que c’est une condition pour la transformation d’une forme autoritaire à une autre forme, et il aboutit à la crise grave socio-économique et politique.

Le tel processus on appelle «la modernisation en course».

On peut conclure que dans le cas de la réalisation non convenable du processus de la modernisation, il évoque l’instabilité économique et politique, parce que les modèles investi artificiellement sont souvent incompatible avec le système normatif des traditions de la société et avec les particularités.

La modernisation post-soviétique

L’observation devient évident pour l’expérience de la modernisation dans le cas des pays post-soviétique.

Dans certains pays les institutions démocratiques renforcent et consistent, le processus de la modernisation politique était couronnée de succès, dans les autres ces institutions se combinent avec les procédures non démocratiques, autoritaire ou officielle, et il est utilisé comme la voile, derrière duquel sont cachés les nouveaux types de la gestion. Pendant le rapport de 2017 les 7 pays post-soviétique sont classés comme les pays non libre: Turkménistan, l’Ouzbékistan, la Biélorussie, la Russie, le Kazakhstan, l’Azerbaïdjan et le Tadjikistan, les 5 pays semi-libre Kirghizistan, l’Arménie, l’Ukraine, la Moldavie, la Géorgie, et seulement les trois républiques baltes sont les pays libres. Comme nous voyons il existe trois couches des pays, qui ont l’histoire commune, ce qu’il faut lié avec les particularités nationales-ethniques, socio-culturel de ces pays, qui ont contribué ou empêché dans une certaine mesure pour l’établissement des valeurs libérales. Notamment la defense de la liberté et des des hommes, qui est l’un de ses valeurs, l’existence de la possibilité de l’expression de la volonté et des relations libres de la concurrence, jouent un grand rôle dans le processus de la démocratisation. En général, la modernisation des pays post-soviétiques ne peuvent être mise dans l même dimension avec les pays d’Europe du Sud et d’Amérique latine. La raison principale c’est la transition d’un système de valeurs et du régime à un autre, qui rend ce processus plus compliqué et contradictoire.

Dans le système socialiste soviétique on exerçait le contrôle dans tous les domaines de la vie sociale, les libertés politiques et les expressions de la volonté des citoyens étaient excluent, la richesse et les complexes économiques de l’état étaient nationalisés, à cause de la quelle la concurrence manquait dans la domaine de l’économie. Sur les principes opposés était ancré l’économie du capitalisme, ici il y avait le système économique du marché libre, dont la fonction n’était pas soumise à la pression de l’état, l’état avait simplement quelques fonctions du contrôle limitées, pour assurer la stabilité et la vitesse du système.

Comme nous voyons, les essentiels et les principes de deux systèmes économiques sont différents, et il devient clair, que pour la transition d’un système à l’autre, il faut les conditions contribuant à l’établissement des relations capitaliste, sans lesquelles le processus semble à la formation cosmétique, à la résulte duquel le contenu restera le même.

En examinant le processus de la modernisation des pays post-soviétiques, il devient évident, que ces conditions ne sont pas été réalisées, et on a fait les démarches pour la capitalisation sans créer l’espace contribuant à cela. Dans ce sans là, les processus du passage de l’autoritarisme à la démocratie se diffèrent essentiellement de l’expérience des autres pays. Premier. La particularité de la modernisation post-soviétique c’était la tentative de créer l’économie du marché libre, en même temps la démocratie pluraliste. En fait, les domaines politique et économique sont liés l’un avec l’autre, parce que tous les deux se déplacent de la même manière, alors les relations économiques libre peuvent servir à la libération de la vie politique, à l’établissement des valeurs démocratiques, et au contraire, leur existence peut contribuer à la libération de l’économie et à la formation des relations compétitives.

Au milieu des années 1980 la politique reconstructive de gorbachov, qui prévoyait résoudre des problèmes socio-économiques et faire des réformes radicales dans la structure sociale, et dans le système politique et économique, finalement n’a pas réussi. La raison principale de cela c’est que les changements on faisait depuis des décennies, dans une société du contrôle total, dont tout la psychologie de la fonction était basée sur les relations de la centralisation et de la soumission, alors sans les changements graduels la libération du système n’était pas réel. Par conséquent, les changements radicaux aboutissent à la décadence du niveau de vie, qui provoquent les fortes tensions et les mécontentements dans les différents groupes sociaux, qui aboutisse à l’instabilité de la société, dans les conditions duquel, il est difficile de créer les bases juridiques et institutionnelles nécessaires pour les réformes socio-économiques.

Deuxième. L’un des particularités de la territoire post-soviétique était l’hétérogénéité ethnique, qui pouvait provoquer les conflits entre les différents groupes ethniques, et contribuer à l’élargissement des regards nationaux. Et cela est lié avec le fait qu’en créant l’URSS on n’avait pas tient compte l’existence des différents groupes ethniques, au contraire, sur la base de certains considérations on faisait les divisions administratives, qui troublaient les limites de cohabitation des différents groupes ethniques, qui devait aboutir, sans doute, aux contradictions.

Le gouvernement totalitaire centralisé pendant des années soviétiques, ainsi que les conditions favorables socio-économiques assuraient la stabilité entre les diverses groupes ethniques, mais la crise grave de la vie publique pendant les derniers années dans l’URSS et les activités liées à cela, qui ont abouti à la chute de l’URSS sont devenus l’impulsion de l’élan des problèmes réservés.

La cause principale des contradictions ethniques était la tension des relations entre les groupes ethniques, qui se composaient la minorité dans les différentes républiques, quand on exerçait les menaces envers les activités de la minorité par les ethnies dominantes. C’est-à-dire la société commence à se détacher par couches par le critère ethno-nationale lié à la haine nationale, à l’intolérance, qui partage et décentralise la société empêchant essentiellement la formation de la société civile. L’un des meilleurs exemples, ce sont les relations arméno-azerbaïdjanaise, parce que les répressions et les filtrages des groupes ethniques envers la population de Haut-Karabakh ont abouti finalement à la guerre, et aujourd’hui, 25 plus tard, la guerre continue.

Troisième. L’autre particularité importante est lié à la société civile. Les valeurs démocratiques qui forment ca base, supposent  l’organisation de la vie publique-politique par les principes libéraux, quand on crée certains unités publique et politique ayant l’autonomie de l’état. Il faut remarquer, que la société civile suppose non seulement l’existence des unités autonomes, mais aussi la possibilité de transactions de ces unités. Dans les pays post-soviétiques il y a les graves empêchements pour la formation des sociétés civiles libérales.

L’un de ces empêchement c’était la transition d’un régime à l’autre avec les idées libérales et les visions, mais dans la base de ces idées il y avait les normes et les valeurs formées pendant des décennies, qui portaient les membres de la société se transfigurant. Surtout, quand il s’agit de la transition d’un régime à l’autre par la forme de vol, il n’est pas possible de réussir ayant seulement les idées et l’envie de créer nouveau régime. Ce problème s’étend sur l’élite dirigeante, ainsi que les couches plus larges de la société.

Les élites dirigeantes post-soviétiques ont été composées des gens, qui étaient les membres de cette société, qui ne sont pas été les témoins de l’application d’un principe de la culture et de la pratique démocratique, sauf de la culture politique et autoritaire, et arrivant au gouvernement ils gardaient formellement certains procédures et normes de la démocratie, mais ils pratiquaient les outils transmis du régime précédent. Ainsi, les membres de la société à long terme ne pouvaient pas former le régime démocratique. D’après l’appréciation de Z. Brzezinski  l’activité des institutions démocratiques et la formation de la culture politique dans les sociétés de transition peuvent durer jusqu’à 15 ans et plus, et en tenant compte le fait, que dans les pays post-soviétiques on devait réaliser non seulement les réformes politiques, mais aussi les réformes radicales dans la vie socio-économique. Le processus de la modernisation est plus  long et compliqué.

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En résumant les approches mentionnées ci-dessus, on peut généralisé, que l’obstacle particulier de la modernisation politique dans les sociétés post-soviétiques était sa réalisation, c’est-à-dire «la modernisation en cous», et l’insertion d’aspect de la transfiguration, quand il faut en même temps de faire l’établissement des valeurs démocratiques et la construction du marché économique. En résultat du développement des processus de cette manière la déception du niveau de vie et la pauvreté, le désespoir et le mécontentement engendraient les les sujets opposés, dont l’activité aboutit à la réaction intolérante, s’exprimant par la limitation des libertés démocratiques par le gouvernement, ayant pour but de prévenir les révoltes, et cela abouti à la formation de la gestion autoritaire.

Sur la base des approches mentionnées dans cet analyse, nous essayerons de clarifier dans l’analyse suivante les particularités du processus de la modernisation politique dans l’Arménie post-soviétique et le caractère des processus, qui se passent sous son influence, ainsi que les tendances de l’évolution du système politique.


Bibliographie

  1. Մարգարյան Մարիամ Մամիկոնի: Քաղաքական արդիականացման և զարգացման հիմնահարցեր: Պատասխանատու խմբագիր Գ.Հ.Սաֆարյան Երևան, «Պետական ծառայություն», 2004:
  2. https://www.academia.edu/30870107/ОСОБЕННОСТИ_ПРОЦЕССА_ДЕМОКРАТИЗАЦИИ_ПЕРЕХОДНЫХ_ОБЩЕСТВ_методологический_анализ_
  3. .http://all-politologija.ru/knigi/politologiya-uchebnik-dlya-vuzov-achkasova-gutorova/tretya-volna-demokratizacii-i-teorii-demokraticheskogo-tranzita
  4. https://freedomhouse.org/report/special-reports/promise-and-reversal-post-soviet-landscape-twenty-years


Auteur: Hayk Sahakyan. © Tous droits réservés.

Traduit par: Gayane Kirakossian.