Patrimoine et mémoire collective », l’exemple du site d’Erébouni (Arménie) avec l’AIMF, le 08 octobre, 2018
Une session sur la coopération à l’échelon local en Francophonie s’est tenue au Pavillon de la Francophonie sur le patrimoine et mémoire collective à travers l’exemple du site Erébouni ayant comme but de mettre en avant la coopération au niveau des territoires en Francophonie.
Les intervenants ont mis en valeur la coopération décentralisée Erevan-AIMF, le développement durable des territoires, la coopération universitaire franco-arménienne pour des architectures éco-responsables, ainsi que le rôle de l’AIMF en tant qu’un accélérateur d’échanges pour le développement local․ Julie GUILLAUME, conseillère de l’AIMF, David GEVORGYAN, directeur du Département des relations internationales de la Mairie d’Erevan, Gagik GALSTYAN, recteur de Université Nationale d’Architecture et de Construction d’Arménie (UNACA) et Emma HARUTYUNYAN, professeur de la même université ont pris parole sur ces sujets tout en présentant les points forts, les résultats des échanges et les réussites des étudiants de l’UNACA dans le cadre de la coopération universitaire franco-arménienne.
Le projet « Conservation et mise en valeur du site d’Erébouni » a été présenté par Suzanne MONNOT, Maitre de conférences à l’École nationale supérieure d’architecture de Lyon, responsable de la coopération avec l’Arménie. Il s’agit de la construction des habitats au citadelle d’Erébouni qui sera un support du renforcement des capacités de la municipalité en matière de gestion patrimoniale et une consolidation de la collaboration internationale au niveau du renforcement de la place de la ville d’Erevan dans le réseau francophone.
Des sujets sur la coopération à travers un matériau durable (Bakonirina RAKOTOMAMONJY, architecte, Présidente de CRAterre) et la coopération décentralisée Lyon-Erevan (Gilles SABATERIE, urbaniste-architecte, chef de projet ville et métropole de Lyon) ont été également abordé par les intervenants au sein de cette session qui a été accompagnée par un atelier « bâtir en terre ».
Avec une dizaine d’étudiants réunis au Pavillon de la Francophonie, Hugo DAGUILLON a réalisé deux expérimentations notamment comment obtenir un matériel de construction solide d’un matériel naturel.
Article préparé par Shushanik Makaryan