Un autre projet de #LiveTalks_4 a été lancé le 19 mai dans le club « Hodvats 3 » sous la rubrique « Libération de l’éducation. Instruments et mécanismes ».
Les intervenants étaient :
Olya Azatyan, professeur à l’Université d’Etat des Langues et des Sciences sociales V. Brussov,
Ani Kojoyan, professeur à l’Université d’Etat d’Erevan, responsable du programme « Education » de Open Society Foundations,
Davit Petrosyan, membre de l’initiative « UEE Restart », activiste,
Anna Khachyan, vice-présidente du Centre des jeunes analystes arméniens (CJAA), analyste,
Areg Kochinyan, président du CJAA, analyste.
Au début de la réunion, la vice-présidente du CJAA, Anna Khachyan, a souhaité la bienvenue au public et a présenté l’ordre du jour de la réunion.
L’un de conférenciers, Olya Azatyan a présenté sa vision de la libération de l’éducation. Selon elle, c’est un processus à la fin duquel l’étudiant devrait être capable de faire une auto-analyse, d’avoir une pensée critique et d’être autogouverné.
La professeure de l’Université d’État d’Erevan, responsable du programme « Éducation » de OSF, Ani Kojoyan a noté qu’avant la Révolution de Velours, le parti au pouvoir en Arménie avait fait de l’éducation un outil politique et dans la loi « sur l’enseignement supérieur » il n’y avait aucun point sur le développement d’une pensée critique. Le conférencier a également souligné la nécessité de pratiquer les droits des étudiants et des professeurs.
Membre de l’initiative « UEE Restart », David Petrosyan a brièvement présenté les activités actuelles et déjà existantes de l’initiative, ainsi que l’implication des étudiants lors de la révolution en Arménie.
Les remarques du président du CJAA, Areg Kochinyan sur l’éducation ont déjà été dans le contexte politique. Il a noté que la révolution n’a pas contribué à la participation des jeunes, mais des représentants de la société civile, principalement des jeunes et des étudiants. Le conférencier a également mentionné que les nouveaux cadres et les nouvelles méthodologies sont des outils de réforme de l’éducation.
L’éducation, comme l’a déclaré la vice-présidente du CJAA Anna Khachyan, est un processus de libération, et il est nécessaire de penser à des formes alternatives et de fournir une méthodologie appropriée pour obtenir des résultats tangibles.
À la fin de la réunion, les auditeurs ont posé des questions aux conférenciers.