D’où a commencé et où est arrivé l’ordre du jour d’Osaka

Le G20 est le format de la rencontre annuelle des dirigeants des pays ayant les économies les plus grandes et à croissance la plus rapide du monde. Ces deux douzaines de pays ensemble pèsent 80% de l’économie du monde entier ou bien 2⁄3 de la population. Cette fois-ci le sommet est remarqué par un certain nombre de positions controversées, dès le changement du climat et le contrat nucléaire avec Iran jusqu’ au commerce mondial. [i]

Cette année du 28 au 29 juin dans la ville japonaise Osaka, pendant le sommet G20 l’Union européenne était concentrée sur les problèmes traités, en particulier sur les problèmes iraniens, commercials et climatiques.[ii]

Résumons brièvement   les rencontres et les événements les plus remarquables.

É-U-FR
Donald Trump le président des États-Unis pendant la rencontre bilatérale avec et le président de la Fédération de Russie Vladimir Poutine a  montré du doigt Poutine en plaisantant, à la réponse de la question du journaliste et a dit : « N’intervenez (auteur américain ) pas aux élections, s’il vous plaît ».

C’était la première rencontre entre ces deux présidents depuis la publication de la conclusion de l’enquête faite par Robert Mueller sur  l’intervention possible de la partie russe lors des élections présidentielles des États-Unis en 2016. En conséquence dans le rapport de celui-ci n’importe quel lien criminel n’est pas découvert entre le groupe de préélection de Trump et la partie russe, tandis que les services secrets américains trouvent que, néanmoins, ils étaient dirigés par le système d’Etat russe vers les cyber-attaques et la propagande des fausses nouvelles en faveur de la victoire de Trump[iii].Néanmoins, dans l’interview donné à Financial Times, Poutine a dit , qu’aujourd’hui le libéralisme est prématuré et a salué la montée du populisme en Europe. Il a aussi nommé Trump « homme doué », qui sait comment agir avec ses votes. A son tour, Trump a loué Poutine en notant que c’est un grand honneur pour lui de rencontrer le président Poutine, et a ajouté, qu’ils « ont de très-très bonnes relations ».
Selon le porte-parole du président de FR, Dmitri Peskov, dans les prochains jours une invitation officielle sera envoyée à Trump pour participer à la célébration du 75ème anniversaire de la victoire de la Grande guerre patriotique l’année prochaine le 9 mai à Moscou. 

RU-FR

Le président de la FR Vladimir Poutine et la Première ministre du Royaume-Uni Theresa May ont eu une conversation tête-à-tête sur un certain nombre de questions épineuses, et avant la discussion les photographes ont pris le regard froid de tous les deux surtout celui de Theresa May. Parmi les questions compliquées était encore l’empoisonnement de l’ancien officier Sergueï Skripal supposé par les services spéciaux russes. Pourtant, Kremlin Officiel réfuse jusqu’aujourd’hui tout rapport avec le cas.

FR-Inde-Chine

Il est remarquable la rencontre trilatérale entre les leaders de la FR, de l’Inde, de la Chine V.Poutine, Narendra Modi, Xi Jinping, pendant laquelle les parties ont discuté les moyens du renforcement des liens mutuels.

Il ont discuté des questions pour systématiser des actes contre la lutte du terrorisme, de la diffusion des drogues illégales et des autres défis avec les ministres des affaires étrangères et lesofficiels de haut rang militaires qui étaient présents aux discussions.

Poutine a souligné, que la FR, la Chine, l’Inde opposent avec la persistance à la protection commerciale (une pratique, par laquelle le gouvernement exploite intentionnellement de lourdes taxes aux entreprises non locales en vue de défendre les entreprises nationales de la concurrence externe) [iv] , aux actes unilatérales et aux sanctions illégales [v].

É-U-Inde

Au début de juin de cette année, l’Inde a imposé des taxes élevées mutuelles à l’égard des 28 produits des États-Unis, par exemple, pommes, amandes et noix .

C’était la réponse à la démarche visant à annuler les privilèges par les critères donnés du SPG par Trump à l’Inde : en plus, l’Inde était le plus grand bénéficiaire de ce mécanisme qui donnait le droit au pays de réaliser l’exportation jusqu’à 5,6 milliards de dollars par an sans taxes [vi] .

Le changement climatique

Le président de la France Emmanuel Macron avait noté, qu’il voulait voir des formulations soulignées dans chaque déclaration finale du sommet au soutien du changement climatique. Mais le problème reste discutable, car É-U continue de se retirer du traité climatique de Paris signé en 2015. En plus, Macron avait prévenu, que la France ne signera pas la déclaration G20, s’il n’inclut pas une dispposition claire sur l’accord climatique de Paris [vii].

Chine-É-U

Les pourparlers entre les présidents des États-Unis et de la Chine étaient les plus attendus de ce G20, car les deux pays allaient essayer de résoudre le différend commercial étendu entre eux d’une certaine manière.

Les pourparlers du mois dernier avaient été annulés, quand Trump avait accusé la Chine de ne pas tenir leurs promesses et avait élevé les tarifs de la taxe à la mesure de 200 milliards de dollars pour l’exportation des marchandises chinoises. La Chine à son tour avait répondu par ses propres campagnes tarifaires.

Ils ont rencontré pour la dernière fois pendant le sommet G20 l’année passée à Buenos Aires et ils s’étaient accordés sur l’armistice commercial de 90 jours pendant le dîner de travail.

Les délégations commerciales des États-Unis et de la Chine avaient rencontré à Osaka avant la rencontre Trump-Jinping, donc les consultants de Trump avaient noté, que les pourparlers auraient lieu sans conditions préalables et l’armistice commercial ou l’application de nouveaux tarifs sont des résultats tout à fait possibles.

Les dirigeants de l’UE à leur tour avaient déclaré, qu’ils étaient inquiets pour le fait, que la transaction bilatétale entre la Chine et les États-Unis pouvait être obtenu grace à l’Europe, par exemple, si Pékin accèpte d’acheter plus de Boeings, que les avions Airbus ou si Jinping préfère de défendre seulement les droits de la propriété intellectuelle des entreprises américaines. [viii]

L’accord nucléaire iranien

« Il n’y a aucune guerre courte »,- avait prévenu Macron. « Nous savons, quand elle commence, mais on ne sait jamais quand elle se termine ». Le Royaume-Uni, la France et l’Allemagne terminent le travail du système de l’échange complexe pour garder le commerceavec l’Iran et éviter les sanctionscomme une partie des efforts de la conservation de la transaction nucléaire. [ix]

La situation actuelle en Iran et en Syrie a été l’un des sujets principaux traité pendant les rencontres de Poutine et de Theresa May, ainsi que Poutine et Macron, Trump et Merkel.

Enfin le président des É-U Donald Trump et le président de la Chine Xi Jinping se sont concertés dans le sommet G20 au Japon le 29 juin.

Trump a aussi noté, qu’il permettrait aux compagnies américaines de continuer de vendre des pièces des équipements au géant de la technologie chinoise Huawei, qui a été considéré comme une
concession considérable par les économistes.

Après la rencontre eu lieu dans le cadre du sommet G20 à Osaka il a confirmé, que les É-U ne doivent pas augumenter les tarifs de 300 milliards de dollars pour l’importation des marchandises de la Chine, en ajoutant, que les pourparlers continueraient avec Pékin.

Dans la conférence de presse finale le président des États-Unis a reconfirmé, que les compagnies de tecհnologie américaines pouvaient réaliser encore le chiffre d’affaires avec Huawei chinois, par lequel, en fait, le mois passé la barrière définie par le départment du commerce des États-Unis a été éliminée.

Il faut noter, que cette guerre commerciale a frappé aux différents projets d’investissement, à la confiance et à l’exportation de l’environnement commercial dans la deuxième la plus grande économie du monde. Mais proclamer un armistice cela ne signifie pas encore, que la guerre commerciale est terminée. Les taxes de marchandise coûtant de centaines de milliards de dollars sont encore à la consommation. En plus, les deux parties doivent se concerter sur de nombreuses questions.

En réalité, Washington veut, que Pékin change de principe sa façon de développer l’économie des quatre dernières décennies, cesse les subventions reçues des entreprises subventionnées d’Etat, ouvre le marché intérieur, et qu’il tient compte surtout du faitqu’il sera accusé, s’il rate la réalisation de l’une de ces obligations : « Nous tâchons d’avoir un milieu libre, juste, non partial, transparent, prévisible et stable commercial et d’investissement et de garder nos marchés ouverts », – est dit dans l’annonce commune publiée à la fin du sommet G20. Les dirigeants des Etats G20 ont reconfirmé l’utilisation « de tous les outils de la conduite politique » pour but d’avoir une croissance stable, équilibrée et inclusive, mais sans promesse de la lutte contre la protection.

« Le commerce international et les investissements sont les forces motrices importantes de la croissance, de la productivité, de l’innovation, de la création et du développement des emplois »,-  est  dit dans l’annonce commune des dirigeants de G20. [x]


Ce n’est pas surprenant, que les États-Unis était le seul pays, qui a adopté une attitude différente à l’égard de la transaction du climat de Paris parmi les États membres de G20.


Les 19 autres membres, y compris la Turquie et l’Union européenne, ont permis de faire des efforts pour pour la réalisation complète de la traité du changement du climat de Paris de 2015. Les É-U avaientt renoncé de la traité, quand Trump était venu au pouvoir.

Washington a reconfirmé son attitude de sortir de la transaction pendant le sommet de G20.

Quand Trump a été interrogé sur le changement climatique, il a répondu : « Nous avons les meilleurs indices toujours enregistrés et je ne vais pas créer de telles normes [ environnementales, auteur ] pour nos compagnies, à la suite desquelles nous allons perdre le potentiel 20-25% de nos produits », – et il a ajouté : « Nous avons un air si frais que nous n’avons jamais eu auparavant». [xi]

Le G20 suivant

Le sommet suivant est prévu en Arabie Saoudite en novembre 2020.

En plus, l’héritier Mohammed ben Salmane a continué de recevoir des interrogations de la part  des dirigeants de la Turquie et des autres pays à Osaka à l’occasion  du meurtre brutal d’un journaliste saoudien Jamal Khashoggi l’année passée à Istanbul et la question aussi continuera probablement de rester à l’ordre du jour.

Auteur: Vahé Salahyan. © Tous droits réservés.
Traduit par: Hermine Muradyan.