Le régime monétaire en Arménie

La devise est l’élément d’argent qui forme le système monétaire de tel pays. Le problème prioritaire du système monétaire international c’est l’assurance de l’afflux ininterrompue de capitaux et de marchandises. Il doit favoriser l’équilibrage des paiements des pays ce qui suppose l’assurance d’argent liquide pour financier le déficit possible des paiements. Le système monétaire de tel pays a le but d’assurer le lien des marchés intérieurs et extérieurs parce que parce que c’est le seul moyen pour établir un lien entre la production intérieure et les prix extérieurs. Pour les pays qui ont une économie ouverte comme l’Arménie, la circulation extérieure a du poids spécifique : dans ce cas-là la différence de la cote monétaire peut aboutir au grand progrès des volumes d’offre et de demande intérieure.

En 1992 l’Arménie, étant membre de FMI a signé un accord par lequel il a assuré la société internationale qu’il mènera une politique économique fiable en favorisant le développement du système. La politique monétaire de la banque centrale d’Arménie a le but d’assurer la crédibilité du monnaie d’Arménie, aussi la création du champs juridique-économique favorable pour les investissements étrangers.

Le FMI définit 3 types essentiels pour les régimes des cotes :

  • un régime fixé
  • un régime transitoire
  • un régime flottant

Le régime fixé n’est pas favorable pour l’Arménie, parce que en ce cas-là le choix du régime dépend de la puissance de l’économie et il peut aboutir à l’inflation. L’Arménie a adopté une politique de l’économie ouverte, ce qui correspond à la politique du régime fixé. En cas du régime transitoire des fluctuations de la cote sont possibles. Aujourd’hui la banque centrale d’Arménie mène un régime de cote flottant (selon les données de FMI de 2012 le 35% des pays membres choisit ce régime). Le régime fonctionne sur la base de l’offre et de la demande. Dans ce cas- là les interventions par la banque centrale se réalisent surtout le cas échéant visant lever les altérations de l’activité du marché. Le régime est considéré comme flottant quand les gouvernements présentent un renseignement correspondant sur la limitation de ces interventions, c’est à dire pendant les 6 mois précédents ont réalisé 3 interventions au maximum et la duration de chacune n’as pas excédé 3 jours de travail.

Selon les données de la banque centrale de 2017 aux mois de janvier et de février on a réalisé une intervention de 15, 000, 000 USD par la cote  moyen de 485.84. Aux mois de février et de mars les interventions ne sont pas réalisées.

Aux mois d’août et de septembre de 2015 quand on prévenait une dévalorisation dans le marché monétaire d’Arménie à cause des fluctuations territoriales, la banque centrale pouvait assurer la stabilité pour la vérification de la cote sans des tensions considérables mais au fur et à mesure en 2015 le monnaie d’Arménie a été dévalue en 14%. En fait ce n’était pas le résultat le plus mauvais en comparant avec la région, parce que par exemple le tengue du Kazakhstan a été dévalué en 23.74% et le rouble russe en 59.77%.

La dévaluation a n’a pas cessé même en 2016. Selon les données de la banque centrale au début de l’année la dévaluation du monnaie d’Arménie a augmenté par 3% et pendant la deuxième moitié de l’année le drame a adopté la position de dévaluation stabile. La dévaluation du drame contre le dollar était 0.5% aux mois de janvier et d’avril de 2017. Au mois d’avril drame a été dévalué en 0.1% contre dollar et la cote du compte moyen était 485.10 drame pour 1 $.

En cas de dévaluation de la devise nationale les prix baissent aussi, parce que en ce cas-là les exportateurs profitent de la situation et baissent les prix étrangers en élevant leur propre position concurrentielle dans le marché extérieur et favorisent l’accroissement de l’exportation. Mais il est à noter que les prix de l’importation haussent parce que les approvisionneurs étrangers doivent garder invariable le revenu de la devise nationale reçu par la réalisation de leur marchandise. L’importation chère pour les consommateurs devient moins attirant, sa demande diminue et en conséquence on stimule le produit des marchandises déjà nationales. Et tout ça aboutir à son part à la diminution du « déficit » de la balance commerciale.

Donc, tâchons de comprendre pourquoi la banque centrale a choisi le régime monétaire flottant et pas celui non fixé et quelles sont ses côtés favorables pour l’économie ?

Certes, le régime fixé à des avantages. Par exemple, grâce à lui on fait des prévisions correspondantes. Mais le régime noté considère que c’est important de faire des injections de la devise sans cesse ce qui aboutit à l’inflation. Grâce au régime de cote monétaire flottant la banque centrale d’Arménie donne des renseignements aux marchés par des interventions sur leurs établissements en bon état et sur la gestion macroéconomique productive, et les marchés lorsqu’elles reçoivent l’information commencent à fonctionner d’une manière adéquate. Les interventions de la banque centrale supposent des fonctionnements des marchés financiers. Le marché est prêt à la dévaluation de drame et elle a la possibilité d’atténuer les conséquences. En choisissant le régime flottant, l’Arménie donne la possibilité à l’économie d’atténuer les situations critiques. Le régime monétaire flottant assure l’indépendance de la politique de crédit, règle la cote monétaire automatiquement plus vite que les prix et permet d’éviter des attaques spéculatives.


Bibliographie

  1. Մնացականյան Հ., «ՀՀ արժութային շուկայի արդի խնդիրները», Երևան, 2016թ․
  2. «Ինտերվենցիաները ԿԲ-ի կողմից», ԿԲ-ի պաշտոնական տվյալներhttp://moneymarket.am/index.php?page=menuinfo&id1=2&id2=2&id3=2&language=Hay
  3. «Դրամավարկային քաղաքականություն» ՀՀ ԿԲ-ի պաշտոնական կայք https://www.cba.am/am/SitePages/mpobjective.aspx
  4. «Ժամանակագրական շարքեր» ՀՀ ԱՎԾ պաշտոնական կայք http://www.armstat.am/am/?id=17010&nid=126


Auteur :Narine Khachatryan. © Tous droits réservés.

Traduit par Taisya Hovhannisyan.